16h30 : Je débarque à Carhaix le vendredi, eh oui j’ai « sauté » le premier jour, et avec une heure de retard sur l’horaire prévu.   En réalité j’ai surtout un boulot, je ramasse les poubelles le matin… Ah oui c’est vrai, vous vous en fichez de ma vie ! Bon ok je passe les détails ! Découvrez toutes les photos sur la galerie "Vieilles Charrues 2012"

 

Donc étant nouveau aux Vieilles Charrues et qui plus est, non accoutumé aux gros festivals, je découvre cet évènement avec circonspection et appréhension…

Crainte vite passée, car rapidement je me fonds dans l’ambiance décontractée et bon enfant du festival. Je ne passe guère inaperçu avec ma grosse caméra et nombreux sont les festivaliers à m’interpeler pour « passer à la télé ».

Aussitôt arrivé, allez hop au travail. Aurélia et moi nous occupons de réaliser un reportage sur l’ambiance du vendredi : une atmosphère très « super-héros » (voir le lien vidéo en bas)

19h00 : Aurélia m’envoie prendre des photos de « Triggerfinger » à la scène Grall, mais au même moment Audrey me réclame par SMS son appareil photo, elle nous concocte une jolie galerie photo ! Nous nous donnons donc rendez-vous derrière la régie de « Grall », mais la demoiselle m’attend devant l’écran géant de la scène « Glenmor » qu’elle croit être celle de « Grall », la faute à une mauvaise information glanée auprès d’une festivalière (ouh la méchante).

J’ai le temps d’écouter un peu « Triggerfinger » : concert de larsen, je passe ma route.

Je reprends donc mon chemin pour aller la rencontre d’Audrey à Glenmor, quand je reçois un SMS de Aurélia préférant des photos de « Thomas Dutronc » qui joue à … Glenmor, tout est bien qui finit bien !

 

Thomas Dutronc sur la grosse scène

19h30 : Je retrouve Audrey, lui rend son appareil et réalise un shooting de Thomas Dutronc en me faufilant à travers le public à coup de : « s’cusez », « pardon », « désolé ». La foule est en transe quand le chanteur clame la Bretagne Libre et la gloire des frites !!! Why not ? Il fait ce qu’il veut !

21h00 : Un « saut » dans la fosse pour prendre des photos de « Bloc Party » et me revoilà en zone presse pour préparer les conférences du soir dont celle de « The Cure», un groupe qui rend Ludo littéralement dingue. Il patiente devant les barrières depuis plusieurs heures, l’attente risque de lui faire un ulcère, mais qu’importe la « fanitude » passe avant la santé.

  

Robert Smith et Simon Gallup de The Cure

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