I come from Pop : Ha bon ?


 

Comme ils le disent, ils viennent du Pop ! Le Pop de Brest, car ces trois garçons sont de là-bas. Ensemble depuis 2008, ce groupe fait ses dents, avec déjà un son bien particulier et une envie de faire partager quelque chose : et sur scène, c’est agréable !

Galerie Photo ICP

 

Laurent, Pascal et François ont accepté notre invitation, samedi après-midi. On a toujours ce petit coté curieux chez Speedweb, mais finalement on le regrette rarement. La preuve : cette découverte musicale et cette interview du groupe I Come From Pop !

 

 

Première question : pourquoi "I come from Pop" ?

Pascal : En fait il n’y a pas de version officielle. Pour la petite histoire j’avais un autre groupe, et on nous disait que c’était du Folk. Ca m’énervait, je ne venais pas de là moi, je viens de la pop. Et je cherchais un nom pour mon projet solo, parce qu’à l’origine, ce groupe est un projet solo. Un pote m’a dit « prend ça comme nom » : I come from pop. Donc depuis mi 2008 on s’appelle I come From Pop et nous sommes ensemble avec Laurent et François.

 

Donc ce sont les deux autres qui t’ont rejoins, après ?

Pascal : On m’a proposé un concert à Brest et je me suis dit que pour faire avancer le projet, il fallait s’entourer. C’est parti d’un « One Shot » puis ça fait un an que ça dure.

 

Pourquoi avez-vous des surnoms comme Papa, Chef et Champion ?

Pascal : c’était lors d’une résidence en studio, pour bosser, qu’on s’ait donné des surnoms.

Papa : parce que Laurent est papa,

Champion : parce que François est maladroit,

Chef : parce que j’ai apporté le projet solo.

 

Laurent et François, vous étiez aussi branchés Pop ou c’est avec lui que vous êtes partis dans cette direction ?

Laurent : Personnellement, je suis tout à fait dans ce style aussi, donc ce n’est pas un hasard.

Pascal : Comme Laurent, j’écoute ça et j’aime ça.

 

Qu’est-ce qui selon fait que l’on caractérise votre musique comme « Aérienne » ?

Laurent : la voix peut-être, je pense… l’influence

François : On n’est pas cantonné à la Pop, malgré le nom, donc c’est peut-être aussi le mélange.

 

 

Il y a-t-il un événement qui vous tient à cœur prochainement, qui vous empêche de dormir la nuit ?

Pascal : À part les Transmusicales et la tournée des Trans’, qu’on va faire, on n’attend pas un événement en particulier, on prend ce qu’il y a prendre. À part peut-être le 26 novembre à L’Ubu à Rennes, où on a hâte, parce que c’est une salle mythique pour nous.

Rechercher