Acid Arab

Acid Arab est un projet participatif lancé par Guido Minisky et Hervé Carvalho. A force de passer des disques de musiques orientales et d’acid house, ils décident de s'allier et de créer ce projet atypique.

 

Petit point sur vôtre parcours, comment vous êtes vous rencontré, qu’est-ce qui vous a amenez a faire de la musique ?

On s’est rencontré dans un club, ou Ludo travaillait et moi aussi, c’était y a 7ans

 

Et vous aviez tout les deux cette idée de travaillez ensemble?

Nan pas du tout, ça c’est fait comme ca, Ludo a eu la direction artistique d’un club, puis ont a commencé a faire quelques soirées en club, ça a durer 2,3 ans, ils se sont arrêtés et on a commencé Acid Arab après, et là c’était vraiment la première fois où ont commençait un vrai projet ensemble.

 

Par rapport à vôtre nom de scènes Acid Arab, qu’est-ce que cela signifie ?

Ludo prend la parole : Au départ c’était une soirée qu’ont voulaient faire, autour de la musique oriental et électronique, on a appelé une copine graphiste pou quelle nous fasse un logo donc on lui explique qu’on a découvert , estimer qu’ils y avait des passerelles incroyable pour ces deux univers avec des raisons politique, social des rapport avec la sonorité aussi, on lui raconte tout ça et elle nous réponds : » donc si j’ai bien compris, vous voulez faire une soirée acid Arab ? Et là, on a trouvé ça super géniale on prend ca on garde ! Y avait pas plus simple pour décrire ce qu’on voulait faire.

 

Et cela vous à donc poussé a faire de la musique ?

Nan, nan pas du tout on a eu une espèce de révélation musical  on se sait pas du tout dit : tiens on va faire ça pour dénoncez ou quoi, ca nous as sauté aux yeux et ca fait partis du truc parce que la musique occidentale a pas été mise en avant de cette façon là. Ca nous plait et on trouve que c’est aussi puissant que de la techno, que ca peut nous faire partir en vrille car ce n’est pas de la musique de mariage. 

 

Vous vous produisiez aujourd’hui à Lorient en Bretagne, est-ce que c’est un public que vous connaissez déjà ?

Oui ! Grave ! Et on adore ! Nos tourneurs chéries sont des bretons, (rire) on est des Morlaisiens d’adoption, les transmusical  a été pour nous un vrai tramplins, ça été une vrai rencontre assez démente avec le public bretons, on a jouez a Bordeaux, à nantes (rire) nan, on est super contente car on est toujours bien reçu, merci la Bretagne ! On a énormément de lien musicaux  culturel également, les berbèss dans le sud du Maroc, il y a énormément de roux de blond aux yeux clairs, donc il y a énormément d’échange, ca s’entend dans la musique également avec le biniou. Je vais peut être choqué les bretons mais les berbères et les breton se ressemble beaucoup.

 

Avez-vous une préférence avec différents type de salle ?

Oui, le petit club entre cent et 400 personnes c’est cool, y a une atmosphère car les grands festivals c’est plus froid plus grand.

 

C’est quelque chose d’important pour vous ?

Oui, jouez dans des grandes scènes ca façonne la musique, quand on a commencé on pouvait jouez de 3 à 4 h du matin dans des petites salles c’étais énorme et on ne peut faire ça dans dans festivals. Ce n’est pas qu’on n’aime pas mais c’est quand même cool de varier.

 

Avez-vous des projets ?

Oui plein plein ! Etienne Jaubet à fait un album : les visites et on  fait un remix dessus, donc il sera sur notre ep et on a notre p3 qui sortira en janvier 2015 et aussi un maxi bootlegger avec un ami israéliens qui va sortir sous le manteau à 300 exemplaire en vinyle et le live !

Merci beaucoup, bon Dj set et bonne continuation ! 

Audrey et Gwenn

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